28ème dimanche du Temps de l'Église C
En ce temps-là, Jésus, marchant vers Jérusalem, traversait la région située entre la Samarie et la Galilée. Comme il entrait dans un village, dix lépreux vinrent à sa rencontre. Ils s’arrêtèrent à distance et lui crièrent : « Jésus, maître, prends pitié de nous. » À cette vue, Jésus leur dit : « Allez vous montrer aux prêtres. » En cours de route, ils furent purifiés. L’un d’eux, voyant qu’il était guéri, revint sur ses pas, en glorifiant Dieu à pleine voix. Il se jeta face contre terre aux pieds de Jésus en lui rendant grâce. Or, c’était un Samaritain. Alors Jésus prit la parole en disant : « Tous les dix n’ont-ils pas été purifiés ? Les neuf autres, où sont-ils ? Il ne s’est trouvé parmi eux que cet étranger pour revenir sur ses pas et rendre gloire à Dieu ! » Jésus lui dit : « Relève-toi et va : ta foi t’a sauvé. »
Vous avez sûrement déjà vécu ça : vous tenez la porte à quelqu’un, il passe sans un mot… et vous vous dites intérieurement : « Ah, le fameux merci invisible ! »
Eh bien, rassurez-vous : ce n’est pas nouveau. Même Jésus en a fait l’expérience ! Sur dix lépreux guéris, un seul est revenu dire merci. Et c’est autour de ce petit mot – merci – que la Parole d’aujourd’hui nous fait réfléchir.
Eh bien, rassurez-vous : ce n’est pas nouveau. Même Jésus en a fait l’expérience ! Sur dix lépreux guéris, un seul est revenu dire merci. Et c’est autour de ce petit mot – merci – que la Parole d’aujourd’hui nous fait réfléchir.
Naaman, le général syrien, est guéri de la lèpre après avoir obéi à la parole du prophète Élisée. Il plonge sept fois dans le Jourdain, et il ressort purifié. Mais surtout, il ressort croyant. Il ne se contente pas d’être guéri, il reconnaît que Dieu agit. Sa guérison le conduit à la foi, à la gratitude : « Désormais, je n’offrirai plus de sacrifice qu’au Seigneur. » Tant que Naaman cherchait une solution, il était tourné vers lui-même. Dès qu’il remercie, il se tourne vers Dieu.
Le psaume nous fait chanter : « Le Seigneur a fait connaître son salut ! »Remercier, c’est reconnaître que tout ne vient pas de nous. Que notre vie, nos réussites, nos dons… ne sont pas juste le fruit de nos efforts, mais aussi de la grâce de Dieu.
Naaman, le général syrien, est guéri de la lèpre après avoir obéi à la parole du prophète Élisée. Il plonge sept fois dans le Jourdain, et il ressort purifié. Mais surtout, il ressort croyant. Il ne se contente pas d’être guéri, il reconnaît que Dieu agit. Sa guérison le conduit à la foi, à la gratitude : « Désormais, je n’offrirai plus de sacrifice qu’au Seigneur. » Tant que Naaman cherchait une solution, il était tourné vers lui-même. Dès qu’il remercie, il se tourne vers Dieu.
Le psaume nous fait chanter : « Le Seigneur a fait connaître son salut ! »Remercier, c’est reconnaître que tout ne vient pas de nous. Que notre vie, nos réussites, nos dons… ne sont pas juste le fruit de nos efforts, mais aussi de la grâce de Dieu.
Saint Paul, dans sa lettre à Timothée, le dit autrement : même si lui, Paul, est enchaîné, la Parole de Dieu, elle, ne se laisse pas enchaîner. C’est une invitation à l’humilité et à la confiance : notre mission, notre foi, notre vie chrétienne ne reposent pas uniquement sur nos forces, mais sur la fidélité de Dieu. Dire merci, c’est reconnaître que Dieu agit souvent là où nous pensions que tout était perdu.
Saint Paul, dans sa lettre à Timothée, le dit autrement : même si lui, Paul, est enchaîné, la Parole de Dieu, elle, ne se laisse pas enchaîner. C’est une invitation à l’humilité et à la confiance : notre mission, notre foi, notre vie chrétienne ne reposent pas uniquement sur nos forces, mais sur la fidélité de Dieu. Dire merci, c’est reconnaître que Dieu agit souvent là où nous pensions que tout était perdu.
Dix lépreux sont guéris, un seul revient. Et Jésus demande : « Les neuf autres, où sont-ils ? » Ce qui touche Jésus, ce n’est pas seulement la politesse, c’est la foi exprimée dans le merci.
Car celui qui revient, le Samaritain, entend cette phrase magnifique : « Ta foi t’a sauvé. » Les dix ont été guéris, mais un seul est sauvé, parce qu’il a su reconnaître la source de son bonheur. La gratitude ne change pas seulement nos lèvres, elle change notre cœur. Chaque merci sincère est une petite prière. Une manière de dire : « Seigneur, sans toi, je ne peux rien. »
Dix lépreux sont guéris, un seul revient. Et Jésus demande : « Les neuf autres, où sont-ils ? » Ce qui touche Jésus, ce n’est pas seulement la politesse, c’est la foi exprimée dans le merci.
Car celui qui revient, le Samaritain, entend cette phrase magnifique : « Ta foi t’a sauvé. » Les dix ont été guéris, mais un seul est sauvé, parce qu’il a su reconnaître la source de son bonheur. La gratitude ne change pas seulement nos lèvres, elle change notre cœur. Chaque merci sincère est une petite prière. Une manière de dire : « Seigneur, sans toi, je ne peux rien. »
Aujourd’hui encore, Dieu agit, guérit, relève, pardonne. Mais il attend notre réponse. Alors, faisons de nos journées un grand chant de gratitude. Pas seulement pour les grands miracles, mais aussi pour les petites choses. Et si, à la fin de cette messe, quelqu’un vous dit : « Bonne journée ! » — répondez-lui : « Merci, et vous aussi ! » Parce que, comme me disait un jour un enfant : « Quand on dit merci à Dieu, il doit sourire un peu. Et ça, c’est déjà un miracle ! »
Aujourd’hui encore, Dieu agit, guérit, relève, pardonne. Mais il attend notre réponse. Alors, faisons de nos journées un grand chant de gratitude. Pas seulement pour les grands miracles, mais aussi pour les petites choses. Et si, à la fin de cette messe, quelqu’un vous dit : « Bonne journée ! » — répondez-lui : « Merci, et vous aussi ! » Parce que, comme me disait un jour un enfant : « Quand on dit merci à Dieu, il doit sourire un peu. Et ça, c’est déjà un miracle ! »

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