Lundi de la 28ème semaine du Temps de l'Église
En ce temps-là, comme les foules s’amassaient, Jésus se mit à dire : « Cette génération est une génération mauvaise : elle cherche un signe, mais en fait de signe il ne lui sera donné que le signe de Jonas. Car Jonas a été un signe pour les habitants de Ninive ; il en sera de même avec le Fils de l’homme pour cette génération. Lors du Jugement, la reine de Saba se dressera en même temps que les hommes de cette génération, et elle les condamnera. En effet, elle est venue des extrémités de la terre pour écouter la sagesse de Salomon, et il y a ici bien plus que Salomon. Lors du Jugement, les habitants de Ninive se lèveront en même temps que cette génération, et ils la condamneront ; en effet, ils se sont convertis en réponse à la proclamation faite par Jonas, et il y a ici bien plus que Jonas. »
Imaginez un instant… Vous recevez une invitation pour un grand banquet. Mais vous ne savez ni qui l’organise, ni ce qui vous attend. Vous hésitez. Peut-être vous demandez-vous : « Et si ce n’était pas pour moi ? » Aujourd’hui, les lectures nous rappellent que nous avons reçu quelque chose de bien plus grand qu’un simple festin : l’invitation de Dieu à sa vie, à sa miséricorde, à son amour. Et cette invitation… n’est pas pour nous seuls. Elle est pour le monde entier.
Paul commence sa lettre en se présentant : « Serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre ». Il nous rappelle quelque chose d’important : l’appel de Dieu ne dépend pas de nos mérites. Nous sommes choisis par grâce. Nous n’avons rien à gagner… mais tout à recevoir. Être chrétien, c’est reconnaître que notre vie entière doit refléter l’Évangile. Comme Paul, nous sommes invités à être des témoins, même si nous doutons de nos capacités. Dieu nous appelle, même quand nous nous sentons incapables.Le psalmiste chante : « Le Seigneur a manifesté sa victoire, il a révélé son salut aux nations. » Ici, la joie n’est pas réservée à quelques élus. Elle est universelle. Nous sommes invités à chanter, à exulter, à rendre visible cette joie par nos actes de bonté. Dans un monde souvent triste ou inquiet, nous pouvons être des instruments de la louange de Dieu. Quand nous accueillons sa présence, la peur se transforme en joie, l’égoïsme en partage, et la solitude en communion. La présence de Dieu transforme nos vies.
Jésus parle de l’invitation de Dieu à se convertir, à croire et à agir. Comme le peuple de Ninive, capable de changer par sa foi, nous sommes appelés à reconnaître les signes de Dieu dans notre vie. La parole de Dieu n’est pas seulement à écouter… elle est à vivre. Chaque geste de bonté, chaque choix d’amour est une réponse concrète à cet appel. Si nous restons sourds ou indifférents, nous passons à côté du trésor que Dieu nous offre. L’appel de Dieu demande une réponse active, courageuse et joyeuse.
Dieu nous appelle,Dieu nous invite à la joie,Dieu attend de nous une réponse concrète.
Alors souvenons-nous : répondre à l’appel de Dieu n’est pas comme répondre à un SMS en retard… Ici, plus on tarde, plus on manque quelque chose d’extraordinaire ! Courons donc vers cette vie que Dieu nous promet, sans hésiter, avec foi et joie.
Imaginez un instant… Vous recevez une invitation pour un grand banquet. Mais vous ne savez ni qui l’organise, ni ce qui vous attend. Vous hésitez. Peut-être vous demandez-vous : « Et si ce n’était pas pour moi ? » Aujourd’hui, les lectures nous rappellent que nous avons reçu quelque chose de bien plus grand qu’un simple festin : l’invitation de Dieu à sa vie, à sa miséricorde, à son amour. Et cette invitation… n’est pas pour nous seuls. Elle est pour le monde entier.
Paul commence sa lettre en se présentant : « Serviteur de Jésus-Christ, appelé à être apôtre ». Il nous rappelle quelque chose d’important : l’appel de Dieu ne dépend pas de nos mérites. Nous sommes choisis par grâce. Nous n’avons rien à gagner… mais tout à recevoir. Être chrétien, c’est reconnaître que notre vie entière doit refléter l’Évangile. Comme Paul, nous sommes invités à être des témoins, même si nous doutons de nos capacités. Dieu nous appelle, même quand nous nous sentons incapables.
Le psalmiste chante : « Le Seigneur a manifesté sa victoire, il a révélé son salut aux nations. » Ici, la joie n’est pas réservée à quelques élus. Elle est universelle. Nous sommes invités à chanter, à exulter, à rendre visible cette joie par nos actes de bonté. Dans un monde souvent triste ou inquiet, nous pouvons être des instruments de la louange de Dieu. Quand nous accueillons sa présence, la peur se transforme en joie, l’égoïsme en partage, et la solitude en communion. La présence de Dieu transforme nos vies.
Jésus parle de l’invitation de Dieu à se convertir, à croire et à agir. Comme le peuple de Ninive, capable de changer par sa foi, nous sommes appelés à reconnaître les signes de Dieu dans notre vie. La parole de Dieu n’est pas seulement à écouter… elle est à vivre. Chaque geste de bonté, chaque choix d’amour est une réponse concrète à cet appel. Si nous restons sourds ou indifférents, nous passons à côté du trésor que Dieu nous offre. L’appel de Dieu demande une réponse active, courageuse et joyeuse.
Dieu nous appelle,
Dieu nous invite à la joie,
Dieu attend de nous une réponse concrète.
Alors souvenons-nous : répondre à l’appel de Dieu n’est pas comme répondre à un SMS en retard… Ici, plus on tarde, plus on manque quelque chose d’extraordinaire ! Courons donc vers cette vie que Dieu nous promet, sans hésiter, avec foi et joie.
Seigneur, remplis-nous de ta joie et fais que notre vie soit un chant de
louange et de gratitude envers toi.
Seigneur, aide-nous à reconnaître les signes de ton amour et à transformer
nos choix quotidiens en gestes d’Évangile.
Seigneur, fais que nous soyons des instruments de ton salut, partageant ton
amour et ton espérance autour de nous.
Tournons nos regards vers le Père qui a créé ce monde ; monde que nous déréglons si souvent en ne le respectant pas : Notre Père …
Et que Marie, la Vierge des Pauvres, Notre-Dame des sinistrés, soit aujourd’hui encore source de compassion : Je vous salue Marie …

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