Mercredi de la 27ème semaine du Temps de l'Église
Il arriva que Jésus, en un certain lieu, était en prière. Quand il eut terminé, un de ses disciples lui demanda : « Seigneur, apprends-nous à prier, comme Jean le Baptiste, lui aussi, l’a appris à ses disciples. » Il leur répondit : « Quand vous priez, dites : Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui ont des torts envers nous. Et ne nous laisse pas entrer en tentation. »
On connaît tous cette fameuse histoire de Jonas, qui ne comprend pas ou ne veut pas comprendre. Et Jésus, dans l’Évangile, nous montre comment prier et rester connectés à Dieu, même quand on ne comprend pas tout.
Jonas reçoit un message simple : « Va à Ninive et dis-leur de changer. » Simple ? Pas pour lui. Il boude, il râle, il prend ses jambes à son cou. On pourrait presque dire : « Ce gars-là, il nous ressemble… » Combien de fois Dieu nous demande juste de tendre la main, d’écouter quelqu’un, et on trouve mille excuses ? Dieu nous appelle souvent là où on n’a pas envie d’aller. Mais c’est là que le miracle commence.
Les disciples demandent à Jésus : « Seigneur, apprends-nous à prier. » Il ne leur donne pas une formule compliquée. Il leur donne le Notre Père. Claire, simple, directe. La prière, c’est comme respirer. On expire nos inquiétudes, on inspire l’espoir. Si on oublie de respirer… on étouffe. Si on oublie de prier… nos cœurs s’alourdissent. Parler à Dieu, même quelques mots, ça fait du bien. Ça nous recentre, ça nous calme, ça nous aide à avancer.
Jonas voulait voir Ninive punie. Dieu, lui, choisit la miséricorde.Jonas râle, il ne comprend pas. Et nous ? Combien de fois on voudrait que Dieu fasse « comme on pense » ? Mais Dieu voit plus loin. Il agit toujours pour le bien. Même quand ça nous dépasse, même quand c’est surprenant.
Alors retenons trois choses :Dieu nous appelle même quand on n’a pas envie.La prière est notre oxygène.Dieu peut toujours nous surprendre.
Et pour finir : Jonas a boudé… dans un poisson géant. Et Dieu l’a quand même remis sur pied. Alors si nous nous sentons perdus ou dépassés… rappelons-nous : Dieu a un plan. Et parfois, ce plan commence par… nous sortir d’une situation aussi étonnante qu’un ventre de poisson.
On connaît tous cette fameuse histoire de Jonas, qui ne comprend pas ou ne veut pas comprendre. Et Jésus, dans l’Évangile, nous montre comment prier et rester connectés à Dieu, même quand on ne comprend pas tout.
Jonas reçoit un message simple : « Va à Ninive et dis-leur de changer. » Simple ? Pas pour lui. Il boude, il râle, il prend ses jambes à son cou. On pourrait presque dire : « Ce gars-là, il nous ressemble… » Combien de fois Dieu nous demande juste de tendre la main, d’écouter quelqu’un, et on trouve mille excuses ? Dieu nous appelle souvent là où on n’a pas envie d’aller. Mais c’est là que le miracle commence.
Les disciples demandent à Jésus : « Seigneur, apprends-nous à prier. » Il ne leur donne pas une formule compliquée. Il leur donne le Notre Père. Claire, simple, directe. La prière, c’est comme respirer. On expire nos inquiétudes, on inspire l’espoir. Si on oublie de respirer… on étouffe. Si on oublie de prier… nos cœurs s’alourdissent. Parler à Dieu, même quelques mots, ça fait du bien. Ça nous recentre, ça nous calme, ça nous aide à avancer.
Jonas voulait voir Ninive punie. Dieu, lui, choisit la miséricorde.
Jonas râle, il ne comprend pas. Et nous ? Combien de fois on voudrait que Dieu fasse « comme on pense » ? Mais Dieu voit plus loin. Il agit toujours pour le bien. Même quand ça nous dépasse, même quand c’est surprenant.
Alors retenons trois choses :
Dieu nous appelle même quand on n’a pas envie.
La prière est notre oxygène.
Dieu peut toujours nous surprendre.
Et pour finir : Jonas a boudé… dans un poisson géant. Et Dieu l’a quand même remis sur pied. Alors si nous nous sentons perdus ou dépassés… rappelons-nous : Dieu a un plan. Et parfois, ce plan commence par… nous sortir d’une situation aussi étonnante qu’un ventre de poisson.
R/ Regarde ton peuple, Seigneur.
Béni sois-tu, Pasteur de ton Église, pour la vie que tu lui donnes :
que cette grâce soit notre joie.
Béni sois-tu, Gardien du troupeau :
garde tes disciples dans la fidélité à ton nom.
Béni sois-tu, Chef du peuple choisi :
entraîne-le dans l’amour de ta loi.
Béni sois-tu, Pain de la vie :
rends-nous forts pour accomplir l’œuvre du Père.
Tournons nos regards vers le Père qui a créé ce monde ; monde que nous déréglons si souvent en ne le respectant pas : Notre Père …
Et que Marie, la Vierge des Pauvres, Notre-Dame des sinistrés, soit aujourd’hui encore source de compassion : Je vous salue Marie …

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